MAÎTRE LANTO – Se relever sans cesse …
Canalisation publique du 7 décembre 2021 par Sylvain Didelot, retranscrite par Marie-Claire.
Chères âmes, je salue ici votre présence, et aussi votre bienveillance dans le service de la forme. J’amplifie l’énergie de ce canal pour pouvoir vous parler plus simplement, plus tranquillement.
Je suis Maître Lanto, et mon discours aujourd’hui, vient évoquer le symbole de la fin d’un temps et du début d’un autre temps, d’un autre espace aussi, à vos côtés.
Chères âmes, votre présence sur la Terre est une bénédiction. Quelles que soient les apparences extérieures, le progrès fulgurant de la Conscience existe dans votre monde, en dehors de l’apparence, en dehors de ce qui concerne la surface de votre être, la surface des apparences.
Votre monde en transformation poursuit son évolution, mais vous aussi. Ainsi, beaucoup commencent à ouvrir leur cœur, et à admettre une existence plus paisible ; paisible parce que vous sentez en vous que le combat devient inutile, que les oppositions sont artificielles, créées et manipulées même, pour vous opposer à votre propre fraternité naturelle.
Alors beaucoup d’entre vous se posent dans cette fraternité, dans le non jugement, ne cherchent plus à savoir qui a tort ou qui a raison, et ce qui est mis en avant bien sûr pourrait être appelé le bon sens, c’est celui de laisser chaque être décider de son destin et assumer les forces de son destin. Car oui, chères âmes, vous êtes des maîtres, en devenir peut-être, mais dans une réalité supérieure vous l’êtes déjà. Vous êtes des êtres qui comprennent la force de l’amour, la force de l’union, mais qui comprennent aussi la force de la désunion et les forces dues à la peur.
La peur c’est la séparation. Si je me sens séparé de Dieu, je vais avoir peur de la mort, avoir peur de tout, mais si je me sens réuni avec cette entité divine qu’est l’Energie Suprême en vous, aucune peur ne peut vous atteindre, aucune crainte ni pour vous, ni pour personne, car vous saurez être inclus dans le Plan divin. Et c’est cela que certains parmi vous ont un peu oublié, oublié que vous étiez inclus dans le Plan divin, que personne n’a été oublié dans ce plan de Conscience.
Ce plan de Conscience dans lequel vous êtes, est un plan de merveilles, un plan d’Amour, un plan de Grâce. La Grâce qui vous traverse, mes amis, est celle d’une paix qui s’installe. Beaucoup, beaucoup peut-être, pourront prendre cette paix comme un recul, mais elle ne l’est pas. Cette paix n’est pas un recul. Il n’y a pas de recul ici. Il y a la Paix. Il y a ce pas vers vous-même, vers votre Conscience Supérieure, le premier pas, cette pause salutaire dans l’énergie. Vous êtes et vous avez toujours été ces êtres pleins de Lumière, pleins d’Amour, pleins de compassion et de compréhension pour vos frères et sœurs dans l’existence, où ce qui a cherché à vous séparer va maintenant, tranquillement et doucement, c’est vrai, s’écrouler, ne plus avoir de force, ne plus avoir de pouvoir sur vous. Vous n’aurez de volonté que dans l’union.
Des évènements terrestres, intra, extra, complémentaires même à l’énergie de Gaïa, cette planète que vous vivez et traversez en même temps, vous aideront dans cette compréhension de ce que j’évoque maintenant, ce besoin de fraternité profonde et réelle.
Chères âmes, vous êtes invitées à la Lumière en vous. Vous êtes invitées à la compréhension sincère et profonde d’un non jugement divin envers vous. Vous n’avez commis aucune erreur, aucun faux pas, rien qui n’ait été totalement utilisé par votre Esprit Supérieur pour avancer vers sa propre Lumière.
Alors, le premier pardon vous invitant à la Paix, c’est un pardon envers vous-même, envers qui vous êtes, envers l’imperfection volontaire que vous êtes.
J’insiste à dire « l’imperfection volontaire » car votre véritable nature est parfaite, et lorsque je parle d’imperfection volontaire, je parle du personnage que vous avez posé sur vous, de cette entité que vous avez fabriquée de vos expériences multiples, nombreuses, ici et ailleurs. Cette imperfection, cette impureté est la source de la perle que vous êtes en train de devenir. C’est ainsi que les choses se font, c’est toujours à partir d’un état d’impureté que se crée la pureté en réalité. Je ne vous invoque pas et n’évoque pas non plus ici une idée de péché, mais une idée de volonté de se relever, de volonté d’avancer.
Le monde et ses circonstances actuelles sont là pour regarder qui va se lever vers sa Divinité, qui va se redresser vers sa Divinité.
Je suis le dieu de mon monde. Vous êtes le dieu de votre monde. Nous sommes le Dieu de ce monde. Voici quelle est la conjugaison de qui vous êtes vraiment.
Vous avez accordé et accorderez encore du pouvoir et de l’énergie à bien des êtres, mais cela fait partie aussi de ce qui vous élèvera petit à petit. Je le répète, vous entrez maintenant dans une phase – je ne sais comment l’appeler sans trop en dire, car nous n’avons pas à trop en dire – mais vous êtes dans une phase de pouvoir, de pouvoir envers vous-même.
Soyez sincère. Soyez vrai. Soyez juste. N’ayez pas de crainte, vous ne risquez rien dans ce chemin, que je vais appeler un chemin de rédemption.
Je vais l’exprimer très joyeusement ce que je suis en train de dire, pour vous dire ceci : c’est comme si vous vous éveilliez dans un autre monde. C’est comme si vous veniez de vous lever dans un autre espace. Imaginez ceci mes amours – mes amours, je ne peux pas vous appeler autrement, j’allais dire mes amis, mes amours ; je vous appelle mes amours si vous le voulez bien – vous êtes sur le chemin de votre propre ciel et le premier pas est dans la Paix, dans la Grâce du moment présent, dans la Grâce de cette énergie qui vous traverse, dans ce pardon à vous-même, dans ce pardon à l’autre.
Tout le monde a cru bien faire dans votre temps, je ne parle pas des derniers mois ou même des dernières années mais de toute cette existence que vous êtes en train de vivre. Chacun d’entre vous a cru bien faire, a voulu bien faire, en posant sa volonté, celle du personnage. Et petit à petit, c’est une volonté supérieure qui se prononce ici, c’est une volonté supérieure qui entre en vous, et cette volonté supérieure vous demande de vous observer, de vous pardonner.
Je le répète et je le répèterai autant de fois que nécessaire, dans l’idée de vous dire que dans la zone que vous traversiez, vous n’aviez pas autant de choix que ceux que vous avez maintenant, au moment où vous pensez ne plus avoir de choix, ou peu de choix.
La réalité est toute autre. En vérité, vous n’avez jamais eu autant de possibilités d’évoluer, d’avancer, de progresser, que maintenant et ici, où vous êtes, dans ce temps et dans cet espace. Je le répète, vous n’avez jamais eu autant de possibilités d’avancer et de progresser vers votre véritable nature qu’ici et maintenant, où vous êtes et dans ce que vous faites.
Votre nature véritable va commencer à prendre le dessus. Ainsi, vous allez vous sentir atteint par moins de choses. Vous allez vous sentir avoir besoin de moins de compréhension, avoir besoin de moins de possessions.
Le personnage bien sûr à l’intérieur de vous, ne comprendra pas ce que cela signifie de quitter cette ère du désir. C’est entrer dans l’Œuvre, c’est reconnaître votre espace naturel à l’intérieur, votre propre place dans la nature, vous insérer à nouveau dans un ensemble plus grand que ce « je » qui voulait dominer la situation, d’observer à quel point le monde entier est en train d’évoluer en tant qu’entité vivante et vibrante.
La pression qui s’exerce sur vous va continuer. Elle va continuer mais vous ne la vivrez plus de la même manière. Vous comprendrez qu’à chaque fois, c’est une contraction de la Mère Divine pour faire naître l’enfant divin que vous êtes. Il y en aura toujours parmi vous pour ne pas aimer ces moments, pour ne pas les supporter, les trouver indignes de Dieu. Ceux-là sont ceux qui restent encore dans le personnage, dans le goût du contrôle, dans ce rôle du « je » qui croit être possédé, ne pas avoir le choix.
Se lever est une posture d’Être, pas une posture de rage, pas une posture de conquérant mais une posture d’Être. Et ce que j’appelle ici une posture d’être, c’est d’être en conscience, d’être prêt à avancer en même temps que l’énergie de cette planète, pas aussi vite que « je » le voudrais, mais aussi vite que l’énergie planétaire le souhaitera à travers vous, que l’Energie de la Vie le souhaitera à travers vous.
C’est la fin du jeu, c’est la fin du « je », le début de l’ère des Vivants par rapport aux morts-vivants que vous pouviez sembler être parfois.
La Vie, la Joie, la Paix sont des choses simples, cela ne s’achète pas. Ce sont des états qui se vivent dans le moment présent.
La souffrance ne vient pas de ce moment précis où je vous parle, de ce moment présent. La souffrance ne vient pas de là. La souffrance vient de votre envie de conserver l’identité en permanence, et vous la conservez à l’aide du souvenir, vous souvenant de vos traumatismes, vous souvenant du passé, vous souvenant de bons moments. Vous souhaiteriez encore et encore les reproduire, et pas les renouveler mais les reproduire. Et comme tout moment, comme toute photocopie dans votre existence, chaque photocopie devient de plus en plus fade, de plus en plus vidée de sens. Alors, il ne s’agit pas de créer d’anciens bons moments, mais de travailler à créer un nouveau bon moment ici, maintenant, un moment différent, un moment qui n’est pas comme avant, qui n’est pas comme après non plus, un moment qui est comme maintenant, de prendre conscience que le moment présent est réellement ce que vous désirez. Encore une fois, si vous entrez trop en mémoire vous allez commencer à échafauder et à dire : « le moment présent n’est pas tel que je le désire. Je le voudrais comme ceci, je le voudrais comme cela » et vous allez commencer à le définir. Mais cette définition ne sera pas dans le présent. Cette définition, encore une fois, sera dans le passé, et vous serez encore dans une photocopie de votre désir mais pas dans quelque chose de nouveau, mais comme dans quelque chose qui est déjà préparé et qui ne sera jamais à votre goût, parce que peu surprenant finalement.
Le moment présent est parfait. Il est fugace, inexistant mais il est là – inexistant dans le sens où chaque moment présent devient une mémoire. Je vous invite donc à toucher la zone qui est sans temps et toujours présente, cet instant présent.
Votre mental bien sûr est bouleversé de ces paroles. Il cherche à comprendre encore une fois. Laissez-le faire, laissez-le essayer de comprendre.
Vous expliquer ce qu’est le moment présent, ce serait comme si je vous demandais : « Explique-moi comment tu crées le passé, comment as-tu créé le passé ? Explique-moi. » Alors, vous me diriez : « le passé ne se crée pas, il existe, il est là. Je ne l’ai pas créé, il s’est créé tout seul. » Alors je vous dis la même chose. Le moment présent ne se crée pas, il existe, il est là. Il se crée tout seul.
Il ne se crée pas que des circonstances et des croyances que vous avez manifestées, il se crée aussi de l’énergie que vous acceptez de recevoir et d’émettre.
Se lever, cette position que j’ai évoquée au début de mon discours, cela consiste à arrêter d’être comme une feuille morte sur la mer se laissant balloter par la moindre vague, et d’être là, conscient et joyeux de se lever, de prendre un peu plus de recul peut-être sur les circonstances, car c’est cela que va donner cette position de maîtrise, et d’observer votre monde avec sagesse et douceur.
En tant que Maître Lanto, je suis aussi ce que vous appelez un artiste. Lorsque vous faites une peinture, une sculpture, cette peinture, cette sculpture est figée. Elle est figée dans le temps. Elle ne bouge pas. Cette peinture, cette sculpture ne bouge pas. Pourtant vous y trouvez la beauté. Vous pouvez y trouver la Grâce.
Est-ce que c’est la peinture qui évoque cela ou ce que vous faites de la peinture ? Qui décide qu’une toile est jolie, ou pas ? Qui a décidé qu’évoquer la beauté ne doit passer que par ce que vous aimez, et non pas par ce que vous découvrez, même vraiment par un amour, qui serait une projection de ce que vous espérez, une projection d’espoir ? L’œuvre est belle quand elle est inconnue. L’œuvre est belle quand elle est nouvelle. L’œuvre est belle quand elle vous surprend. Ce sont ces œuvres-là qui sont les plus jolies.
Le moment présent est comme une toile figée. Vous pouvez prendre tout de même un peu d’espace, un peu de temps pour observer, et observer avec une connaissance divine à quel point tout est exactement à sa place. Il ne s’agit pas de rester dans un état de béatitude face à la création divine qui est parfaite. Il s’agit vraiment de se dire que cette attitude est simplement possible, que vous n’êtes pas obligé de prendre le moment présent comme étant autre chose que ce qu’il est. Voyez comme je peux me perdre à essayer de décrire l’indescriptible.
Être touché par la Grâce ne se décrit pas. Cela se vit, s’exprime à travers un corps, à travers une énergie, à travers une essence divine.
Le monde est une toile vierge à présent, et vous êtes en train de le redessiner. Levez-vous. Prenez du recul et commencez à peindre ce nouveau monde. Ne redessinez pas ce monde sur une toile existante. Créez-le, manifestez-le depuis votre essence divine.
Comment contacter mon essence divine ? Comment contacter votre essence divine, j’entends cette question. Voici ma réponse : elle est déjà là et elle vous contacte. Cependant, cette essence divine ne se base pas sur un souvenir. Elle ne manifeste pas à partir de ce qu’elle sait ou de ce qu’elle connaît, elle manifeste à partir de sa Lumière, de sa Joie, de son Amour. Elle manifeste à partir de sentiments, d’énergie, d’émotions, de Lumière, et pas à partir de compréhensions, d’idées ou de concepts. Votre nature divine ne réfléchit pas, elle danse. Votre nature divine ne conçoit pas, elle peint le monde.
Comment exprimer dans votre dimension ce qui est dans la nôtre ? Si vous saviez comment nous ne pouvons vous voir que comme magnifiques, parfaits, entièrement parfaits. La toile du monde qui est dessiné, n’a aucun espace qui ne soit pas rempli de la Lumière du Divin, aucun. Même quand vous voudrez mettre du noir sur une toile, il va vous falloir utiliser de la peinture noire. Ce que j’essaie de vous dire c’est : Qui est le peintre ? Qui peint le noir ? Votre nature, votre personnage dans sa mémoire crée le noir.
Vous créez l’état de non lumière, d’ombres, de mal, pour utiliser des mots que vous aimez employer. Vous créez cela à partir de votre mémoire de ce qui serait bien, de ce qui serait juste, et vous continuez à justifier cela à l’intérieur de vous. « Mais comment Dieu peut-il croire que cela est juste ? Comment Dieu peut-il considérer que cela est le bien ? » Dieu considère une toile dans son ensemble. Dieu considère l’œuvre dans son ensemble. La non lumière est nécessaire pour révéler la Lumière, et la Lumière est nécessaire pour créer le Vivant et la Grâce du Vivant. La Grâce du Vivant c’est la Grâce de la Joie, c’est la Grâce de l’enfant.
L’enfant est joyeux naturellement. L’enfant quitte sa peine instantanément, parce qu’il n’a pas le souvenir de sa peine. Il est passé à un autre moment, il est passé à autre chose. Vos animaux de compagnie, la nature, se comportent de la même manière. Ils ne vivent pas que dans l’histoire. Ils vivent dans ce moment, dans cette possibilité de créer un nouveau moment, un nouvel espace, et de décider là, ici, maintenant, quel est mon choix ? Quel est mon désir, mon désir de maintenant, pas un désir issu du passé ou d’une volonté mais maintenant ? Est-ce que je peux choisir maintenant ?
Dans l’instant, là, vous ne pouvez pas choisir une nouvelle situation, mais vous pouvez choisir d’être heureux, d’être en Paix, ou de vous ressentir reliés les uns aux autres. Cela est votre désir de l’instant présent. Cela est votre possibilité.
Le monde du Divin, je le répète, se manifeste à partir de votre état d’être, à partir de ce que vous ressentez dans le moment présent, pas à partir de ce que vous ressentiez dans le passé, ni à partir de ce que vous voulez vraiment ressentir dans le futur, mais à partir de ce que vous décidez de ressentir maintenant, et j’insiste, à partir de ce que vous décidez de ressentir maintenant, et pas à partir de ce que vous subissez comme sentiment, maintenant. Donc ne vous inquiétez pas si vous vivez dans une peur qui est subie, ou imposée à vous, cette peur ne créera pas votre monde entièrement. Elle le dominera dans l’apparence des circonstances, mais elle ne le créera pas bien longtemps, car toute création issue d’un sentiment extérieur n’aura une prise que temporaire sur vous, aucune prise très longue. Ce sont vos propres énergies, vos propres sentiments générés par vous et par vous seul, qui créent la circonstance qui vous entourera personnellement, individuellement, et puis aussi collectivement par écho bien sûr.
Ainsi, ceux qui semblent rendre votre vie difficile, j’ai bien dit « ceux qui semblent rendre votre vie difficile », n’ont que le pouvoir de créer en vous une émotion que vous acceptez de manifester, que le pouvoir que vous leur donnez donc, effectivement.
Alors parmi vous, j’en entends encore qui répondent et qui disent : « Mais je n’ai pas le choix ! Je dois vivre cette émotion. Ils me forcent à la vivre. » Je ne m’oppose pas à cela. Je suis en accord avec votre phrase. Je suis en accord avec ce que vous dites. Effectivement ils vous imposent de vivre cette émotion, je vous demande juste de ne pas vivre dans la peur que cette émotion vous détruise. Cette émotion qu’ils vous font vivre, ne vous détruira pas. Elle va vous permettre de vous relever, et c’est le fait de vous relever qui va fortifier l’énergie. C’est le fait de vous lever encore, et encore, et encore qui va éveiller en vous votre nature divine, vous faire quitter la mollesse, la paresse, qui sont des attitudes qui retardent votre aspect divin.
Alors ils m’auront mis à terre, mais celui qui m’a mis à terre m’aura obligé à me relever, et à chaque fois que je me relevais, j’étais un peu plus dieu qu’auparavant. A chaque fois que j’ai dû faire un mouvement vers ma divinité, de force, j’ai quand même atteint la divinité, car je me suis relevé. Bienheureux celui qui comprend que le combat des justes est de se tenir debout, pas en opposition, pas en bataille, mais de se relever encore, encore et encore ; et comprendre que celui qui m’avait mis à terre, n’avait pas réellement ce pouvoir, que tout cela n’était pas si vrai que je l’ai cru. Mais ceci vous le comprendrez, chères âmes, chers amis, chers amours, vous le comprendrez par la répétition des expériences, et il faut qu’une bonne partie de la planète se relève, se relève, se relève, et se relève encore pour cela.
Certains d’entre vous ont décidé d’aider leurs frères, leurs sœurs à se relever. Bien que cette intention soit louable, ce n’est pas celle qui va provoquer le plus grand éveil, la plus grande compréhension divine. Aucun geste n’est supérieur au fait de se lever par soi-même. Alors bien sûr, vous pouvez aider des gens à se relever, mais pas sans cesse, pas tout le temps et pas toujours. Celui qui se lève en Dieu, doit d’abord comprendre qu’il a décidé de s’agenouiller devant la non lumière, doit comprendre que oui il n’avait pas le choix, mais le fait qu’il n’avait pas le choix était aussi volontaire.
Relève-toi mon fils, ta force est là. C’est sans doute là le message du divin à travers vous, le message qui consiste à se relever encore et encore de circonstance apparente extérieure difficile.
Un jour, pour continuer cette allégorie, un jour vous serez debout et plus personne ne pourra vous mettre à genoux, car vous n’accorderez ce pouvoir qu’à l’énergie qui vous traverse, et pas à celle que l’on veut vous faire traverser, qu’à l’énergie qui vous traverse, là, ici, maintenant.
Ni vos propres peurs, ni les peurs extérieures ne vous dominerons, si vous vous êtes relevé suffisamment, si vous avez levé votre attitude hors du désir, du besoin ou de la volonté des autres, hors du désir, du besoin et de la volonté du personnage.
Vous lever, à travers tout ce qui est. La volonté divine embrasse tout, l’amour divin embrasse tout, le désir divin embrasse tout. Ceci est mon nouveau départ. Il n’y a pas de chemin.
Je ris car je sais que le discours que je suis en train de prononcer, est très compréhensible dans les pays que vous appelez le Japon, la Chine, et peu compréhensible dans vos pays européens.
Très difficile de comprendre le sens de « se relever » ici. Je n’ai pas de réellement bonne traduction occidentale à énoncer. Alors comme je sens la confusion, je vais vous laisser avec un autre guide, un autre ange. Il s’agit de l’ange Jophiel et je sais qu’il saura trouver les mots justes.
Mais je tenais à vous dire à quel point, finalement, se relever sans cesse est un exercice de Paix, de pardon à soi, de pardon à l’autre, de reconnaissance du moment présent.
Puisse toute forme bénir toute circonstance.
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
- qu’il ne soit pas coupé
- qu’il n’y ait aucune modification de contenu
- que vous fassiez référence à ce site https://sylvaindidelot.com
- que vous mentionniez le nom de Sylvain Didelot
Video Disponible ici : https://www.legrandchangement.com/viewproduit.asp?i_forfait=78259&i_catego=56249
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Merci
Gratitude à vous Sylvain, au Maître Lanto et à Marie-Claire pour sa retranscription. Maître Lanto est très explicite et ses mots sont très compréhensibles même pour nous occidentaux malgré ce qu’il pense. Cette canalisation est un pur bonheur et je lui suis grâce de nous l’avoir dédiée.
Tout comme il s’adresse à nous « ses amis », « ses amours » j’envoie tout mon amour à mon amour….
Je nous aime.
Tendresse et Amour à toutes les belles âmes que nous sommes ✨✨??✨✨
Lanto dit: vous n’avez jamais eu autant de possibilités d’avancer et de progresser vers votre véritable nature qu’ici et maintenant, où vous êtes et dans ce que vous faites.
Je suis d’accord et j’ajouterai: progresser vers votre véritable nature non pas dans ce que vous faites, mais dans ce que vous ne faites plus. Fini l’agitation superficielle dans les lieux publics, fini la bouffe en groupe, fini les voyages et la mondialisation ou l’on cherche toujours ailleurs… Car que faisaient les moines, les yogis, autrefois? Ils s’isolaient, cherchaient la vérité et le bonheur en eux memes. Grace à cette épidémie c’est une opportunité pour chacun.
C’est le moment de la métanoia. « Métanoïa signifie au-delà de nous, au-delà de l’intellect, de notre raison rationnelle et se rapporte à un mouvement de conversion ou de retournement par lequel l’homme s’ouvre à plus grand que lui-même EN LUI-MEME. »